La ville de Trappes, située dans les Yvelines, compte depuis plus de 40 ans une importante communauté musulmane qui a toujours eu pour ambition de pouvoir vivre sa foi et pratiquer sa religion dans un cadre alliant à la fois respect des préceptes islamiques et modernité. C'est de cette ambition qu'est né le projet de construction du centre islamique de Saint-Quentin en Yvelines (CISQY). Le Centre Islamique de Saint Quentin en Yvelines (CISQY) La première étape a débuté en 2003 avec la construction d'un nouvel espace cultuel qui s'est concrétisé 8 ans plus tard par l'ouverture d'une toute nouvelle mosquée. Idéalement située au centre de la ville de Trappes, 2400 fidèles (1600 hommes et 600 femmes); venus de la ville de Trappes et des sept villes de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin en Yvelines; peuvent désormais prier chaque jumu'a au sein de cet espace de 2000 m2. Au-delà d'un simple lieu de prière la mosquée accompagne aussi chaque membre de sa communauté dans sa vie quotidienne et spirituelle: en collectant la zakat, en organisant le pèlerinage, en accueillant les nouveaux musulmans de l'agglomération ou encore en proposant un service de prévention sociale et psychologique.
Cet espace s'inscrira dans la continuité du CISQY et permettra d'accueillir de nombreux jeunes qui auront alors la possibilité de se former en tant que jeunes musulmans et citoyens. Grâce à l'entraide de la communauté musulmane toute entière, venue de France ou d'ailleurs, nous serons en mesure d'offrir à notre jeunesse l'avenir qu'elle mérite et de transformer ce projet en réalité. Une vidéo pour lancer la campagne de collecte de fonds Dans le but de construire le pôle culturel et éducatif, l'Union des musulmans de Trappes a mis en ligne un nouveau site internet et une vidéo qui annonce le début d'une nouvelle campagne de collecte de fonds. Cela dit en passant, l'excellente vidéo a été réalisée et produite par l'équipe Islamotion. Publicité Votre publicité ici >
Relaxé en premier instance, Mohamed Tataiat est rejugé devant la Cour d'appel de Toulouse, ce lundi 30 mai. L'imam de la grande mosquée de Toulouse est poursuivi pour "provocation à la haine raciale", après avoir tenu un prêche antisémite en décembre 2017. Ce lundi 30 mai, la Cour d'appel de Toulouse va rejuger l'imam de la grande mosquée de Toulouse. En septembre 2021, le Parquet de Toulouse avait fait appel de la décision du tribunal correctionnel de relaxer de Mohamed Tataiat. Il est accusé de "provocation à la haine raciale" pour avoir appelé les Musulmans à tuer les Juifs lors d'un prêche en arabe, diffusé en décembre 2017 sur les réseaux sociaux. Au terme d'une journée d'audience, la décision de la Cour d'appel de Toulouse sera placée en délibéré ce lundi 30 mai. En attendant, voici un rappel (non exhaustif) des faits. Décembre 2017: Un prêche jugé antisémite Dans une vidéo datée du 15 décembre 2017 et révélée par le site de l' Institut de recherche des médias du Moyen-Orient, l'imam de la mosquée du quartier d'Empalot ferait référence dans un prêche en arabe à un hadith (parole du Prophète) qui appellerait les Musulmans à tuer les Juifs.